mercredi 31 mai 2017
vendredi 26 mai 2017
FLAP - FACULTE LIBRE D'ASTROLOGIE DE PARIS: jacques halbronn Centrisme, gaullisme, fascisme ...
FLAP - FACULTE LIBRE D'ASTROLOGIE DE PARIS: jacques halbronn Centrisme, gaullisme, fascisme ...: Centrisme, gaullisme, fascisme : une seule et même problématique au prisme du Barométre astrologique par Jacques Halbr...
mercredi 24 mai 2017
mardi 23 mai 2017
CHANNEL VOYANCE TELEVISION : jacques Halbronn L'invention du barométre astrolog...
CHANNEL VOYANCE TELEVISION : jacques Halbronn L'invention du barométre astrolog...: Jacques Halbronn. L’invention du barométre astrologique. L’outil cyclique du XXIe siècle. Nouz vouz présentons en ce jour...
vendredi 12 mai 2017
Les articles récemment parus sur le site du CURA, Centre Universitaire de Recherche Astrologique. de Patrice Guinard
Franck Nguyen a publié dans RAO Astrologie. | |||||||||||
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jacques Halbronn Historique du milieu astrologique au ptisme de l'astrologie alpha-oméga et de l'élection d'Emmanuel Macron.
Historique du milieu astrologique au prisme de l’astrologie alpha-oméga et de l’élection de Macron
par Jacques Halbronn
Entre le temps alpha (conjonction) et le temps oméga (opposition et ses dérivés 90°, 45° etc) vient s’intercaler un temps que nous avons appelé gamma et qui se situe à l’intersection entre le temps alpha et le temps oméga, comme le printemps entre Hiver et Eté.
Nous sommes actuellement dans un temps gamma, avec Saturrne situé à la fin du signe tropique du Sagittaire comme ce fut le cas lors de l’arrivée de De Gaulle au pouvoir en 1958. On a déjà, dans un précédent texte, signalé et souligné les convergences entre ces deux moments de la vie politique de la Ve République, à près de 60 ans d’intervalle. Dans les deux cas, le président doit se constituer une majorité pour pouvoir exercer pleinement ses pouvoirs, faute de quoi, il se retrouve réduit à la portion congrue d’un président de cohabitation voire de coalition.
Mais nous voudrions ici traiter de petit « monde des astrologues » que nous connaissons et pratiquons depuis 50 ans, puisque ,notre première apparition dans les réunions du Centre International d’Astrologie( CIA), au Musée Social de la rue Las Cases, date de la rentrée 1967- nous allions alors sur nos 20 ans. NOus n’avions alors que quelques mois d’astrologie derrière nous mais pendant l’Eté, nous avions interprété pas mal de thèmes, souvent en allemand et en Israel, puisque nous avions passé l’Eté dans ce pays et été hébergé par une famille allemande de Galilée, près du Mont Thabor..
La carrière « météorique » d’Emmanuel Macron- toutes proportions gardées mais l’on sait qu’en astrologie, il importe de faire des comparaisons- n’est pas sans nous rappeler quelques souvenirs personnels autour notamment de la phase « gamma », laquelle exige des qualités de rassembleur.
En juin 1973, donc à 25 ans nous devenions Vice-président du CIA, profitant de divisions entre les membres du Bureau. Saturne parcourait alors le troisiéme décan du signe des Gémeaux, ce qui correspond à l’entrée dans une phase gamma, ce qui vaut aussi pour le troisiéme décan du Sagittaire, puisqu’il existe un axe stellaire Aldébaran-Antarés à 9° (en tropique). En 1974, en conflit avec le CIA (cf le guide de la Vie Astrologique, Paris, Trédaniel, 1984), nous avions conclu des accords avec Jean-Pierre Nicola (et son CEFA, et Patrice Louaisel (qui avait fondé le GERAS) et créé les Jounées Internationales Astrologiques de Paris (cf la vidéo sur Internet, la saga du MAU) qui se tinrent au mois de septembre 1974 en accord avec l’association américain ISAR à l’Hotel Méridien de la Porte Mallot, Paris. Nous étions toujours à l’époque chargé de la revue Trigone, organe du CIA. En juin 1975, tout comme Macron créera En Marche en 2016, quarante ans plus tard, nous fondions le MAU (Mouvement Astrologique Universitaire). Saturne était alors au milieu du signe du cancer, donc en fin de phase gamma. On pensait à l’époque que cela ne serait qu’un groupuscule qui ne ferait guère d’ombre au vénérable CIA dont un des animateurs avait été André Barbault, lui même ayant occupé le poste de vice-président. Mais dès décembre 75, nous tinmes un congrès international d’astrologie au FIAP (Foyer International d’Accueil de Paris de la rue Cabanis., qui fut boosté par la parutiion anti-astrologique du Manifeste des 186 dans la revue Humanist. En mars 1976, à la barbe de Barbault, paraissaient nos Clefs pouir l’Astrologie, chez Seghers, une collection encyclopédique très réputée à l’époque. Le reste est de l’Histoire. On peut dire sans exagération que notre trajectoire au cours de ces années 73-76 fut météorique. Mais nous avions un sens aigu des alliances, c’est ainsi que nous étions rapproches de la revue L’Autre Monde, de Roger Faloci et de l’association Nouvelle Acropole de Paris, dirigée par Fernand Schwarz.C’est avec ces partenaires, nous organisâmes un Congrès sur l’Ere du Verseau (dont les actes paraitront en 1979 aux Ed Albatros). Parallélement, nous avions fondé la Faculté Libre d’Astrologie de Paris avec parmi les premières enseignantes Catherine Aubier et Marielle Clavel (plus connue désormais sous le nom de Marielle Garrel)t. Cette démarche « lambda » s’accompagna de « débauchages » de la part de membres du CIA de Paul Colombet comme du GERAS de Patrice Louaisel. mais aussi du CEFA de Nicola, en la personne d’Yves Lenoble. Quand en décembre 1977, nous célébrâmes notre trentiéme anniversaire, nous avions déjà de belles performances à notre actif. C’est dire que les 39 ans de Macron ne nous impressionnent pas particulièrement. Nous verrons si Macron fait preuve d’une telle aptitude à rassembler des personnalités autour de lui et pas seulement du public plus ou moins anonyme. Notre force aura été le contact personnel, ce qui aura conduit notamment à la parution d’une série de « bottins », de répertoires, de guides du milie astrologique.
Nous ne reviendrons pas en détail sur ce qui s’est passé depuis et nous entiendrons aux questions de synergie: organisation de moul congrès en province, quadrillant littéralement la France mais avec des percées à l’étranger, de Genéve à Londes, de Bruxelles à Athènes ou encore création de fédérations régionales et internationales sans oublier nos accords avec les Editions Guy Trédaniel qui publièrent nombre de nos ouvrages, à commencer par le Guide de la Vie Astrologique. Enfin, on n’oubliera pas de citer une collection zodiacale aux Editions Solar, dans le cadre du MAU, avec notamment Catherine Aubier,, Françoise Colin et Dorothée Koechlin de Bizemont, qui reparaitra chez France Loisirs.
Autre moment fort qui nous conduisit à interférer avec le destin du GERASH de Louaisel, les années 1986-87. Profitant de tensions entre Charvet et Louaisel, nous nous retrouvâmes vice président du GERASH et comme Louaiseil redevenu président démissionna très vite, cela fit de nous son successeur. C’état une époque très exciytante parce qu’en 1985, nous avions contribué à la création de la Fédération des Enseignants en Astrologie, présidée par Denise Daprey. C’est ainsi que nous nous trouvâmes en position stratégique au sein de trois structures astrologiques. Le congrès de Mars 1987 réunit un grand nombre de personnalités du milieu astrologique dans une configuration gamma, avec Saturne entrant dans le troisiém décan du sagittaire. Il fut suivi d’un autre congrès important de par la qualité de ses participants l’année suivante, toujours à Paris (pour la liste des intervenants, nous renvoyons au Guide astrologique paru en 1997)
En 1996, Fanchon Pradalier Roy nous contacta pour faire paraitre aux Ed. du Rocher une nouvelle édition de notre Guide de la Vie astrologique mais finalement l’ouvrage parur en 1997, aux Ed. Laurens. Cette édition avait été réalisée avec des contributions d’un trè
trologie histoire
s grand nombre d’astrologues qui nous avaient envoyé des éléments complémentaires. Elle avait été également inclue dans le cadre d’un mémoire de DESS (Paris VIII en 1995), « Le milieu astrologique, ses structures et ses membres ». Sautons jjusqu’à l’année 2004, où le MAU fétait les 30 ans du congrès de 74, lequel avait mis fin à une absence de congrès parisiens depuis plus de 20 ans,le dernier en date ayant eu lieu pendant les fêtes de fin d’année 1953-1954. Au mois d’Avril 2004, Saturne était à 8° Cancer, donc en phase gamma et nous fûmes étonnés de l’impact que rencontra l’annonce pour novembre d’un congrès astrologique. Là encore, il ne s’agissait de réunir un public anonyme mais des « grosses pointures », ce qui correspond plus à l’esprit élitique oméga qu’aux compromis de la phase alpha, où la quantité remplace la qualité. Autrement dit, dans l’inconscient collectif des astrologues, notre image de rassembleur des astrologues, tant en congrès que dans nos « guides », s’était maintenue remarquablement (ce Colloque a été entièrement filmé et est enligne). Cet événement marquait d’ailleurs la fin d’une ère « Lenoble » qui dura une quinzaine d’années. Bien entendu, comment ne pas mentionner en 2008, la création de la chaine de télévision astrologique Téléprovidence, née de notre rencontre avec Roger Héquet à laquelle partcipèrent de nombreux acteurs du milieu astrologique?
Nous avons en vérité trois casquettes- ce qui nous permet de surfer sur les phases successives et souvent l’on n’en retient qu’une seule! La casquette de l’organisateur d’événements pour la communauté astrologique, celle d’historien, spécaliste notamment de Nostradamus et enfin celle de réformateur de l’astrologie, cette troisiéme facette est peut être celle qui fait le plus probléme mais cela nous aura donné une certaine distance qui nous aura placé au dessus de la mêlée, ce qui est le propre de l’esprit « gamma ». Nous verrons si Macron au cours des prochains mois a bien un tel profil lui permettant de regrouper autour de lui des personnages de premier plan et d’entretenir des relations de proximité avec des responsables étrangers de haut rang. Notre sentiment, c’est que Macron serait plus à l’aise avec des inconnus qu’avec des gens connus et cela pourrait bien être là que le bât va blesser car une chose est de l’emporter au suffrage universel, une autre de savoir réunir une part importante du « personnel » politique. Qui vivra verra!.
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JHB
12. 05 17
par Jacques Halbronn
Entre le temps alpha (conjonction) et le temps oméga (opposition et ses dérivés 90°, 45° etc) vient s’intercaler un temps que nous avons appelé gamma et qui se situe à l’intersection entre le temps alpha et le temps oméga, comme le printemps entre Hiver et Eté.
Nous sommes actuellement dans un temps gamma, avec Saturrne situé à la fin du signe tropique du Sagittaire comme ce fut le cas lors de l’arrivée de De Gaulle au pouvoir en 1958. On a déjà, dans un précédent texte, signalé et souligné les convergences entre ces deux moments de la vie politique de la Ve République, à près de 60 ans d’intervalle. Dans les deux cas, le président doit se constituer une majorité pour pouvoir exercer pleinement ses pouvoirs, faute de quoi, il se retrouve réduit à la portion congrue d’un président de cohabitation voire de coalition.
Mais nous voudrions ici traiter de petit « monde des astrologues » que nous connaissons et pratiquons depuis 50 ans, puisque ,notre première apparition dans les réunions du Centre International d’Astrologie( CIA), au Musée Social de la rue Las Cases, date de la rentrée 1967- nous allions alors sur nos 20 ans. NOus n’avions alors que quelques mois d’astrologie derrière nous mais pendant l’Eté, nous avions interprété pas mal de thèmes, souvent en allemand et en Israel, puisque nous avions passé l’Eté dans ce pays et été hébergé par une famille allemande de Galilée, près du Mont Thabor..
La carrière « météorique » d’Emmanuel Macron- toutes proportions gardées mais l’on sait qu’en astrologie, il importe de faire des comparaisons- n’est pas sans nous rappeler quelques souvenirs personnels autour notamment de la phase « gamma », laquelle exige des qualités de rassembleur.
En juin 1973, donc à 25 ans nous devenions Vice-président du CIA, profitant de divisions entre les membres du Bureau. Saturne parcourait alors le troisiéme décan du signe des Gémeaux, ce qui correspond à l’entrée dans une phase gamma, ce qui vaut aussi pour le troisiéme décan du Sagittaire, puisqu’il existe un axe stellaire Aldébaran-Antarés à 9° (en tropique). En 1974, en conflit avec le CIA (cf le guide de la Vie Astrologique, Paris, Trédaniel, 1984), nous avions conclu des accords avec Jean-Pierre Nicola (et son CEFA, et Patrice Louaisel (qui avait fondé le GERAS) et créé les Jounées Internationales Astrologiques de Paris (cf la vidéo sur Internet, la saga du MAU) qui se tinrent au mois de septembre 1974 en accord avec l’association américain ISAR à l’Hotel Méridien de la Porte Mallot, Paris. Nous étions toujours à l’époque chargé de la revue Trigone, organe du CIA. En juin 1975, tout comme Macron créera En Marche en 2016, quarante ans plus tard, nous fondions le MAU (Mouvement Astrologique Universitaire). Saturne était alors au milieu du signe du cancer, donc en fin de phase gamma. On pensait à l’époque que cela ne serait qu’un groupuscule qui ne ferait guère d’ombre au vénérable CIA dont un des animateurs avait été André Barbault, lui même ayant occupé le poste de vice-président. Mais dès décembre 75, nous tinmes un congrès international d’astrologie au FIAP (Foyer International d’Accueil de Paris de la rue Cabanis., qui fut boosté par la parutiion anti-astrologique du Manifeste des 186 dans la revue Humanist. En mars 1976, à la barbe de Barbault, paraissaient nos Clefs pouir l’Astrologie, chez Seghers, une collection encyclopédique très réputée à l’époque. Le reste est de l’Histoire. On peut dire sans exagération que notre trajectoire au cours de ces années 73-76 fut météorique. Mais nous avions un sens aigu des alliances, c’est ainsi que nous étions rapproches de la revue L’Autre Monde, de Roger Faloci et de l’association Nouvelle Acropole de Paris, dirigée par Fernand Schwarz.C’est avec ces partenaires, nous organisâmes un Congrès sur l’Ere du Verseau (dont les actes paraitront en 1979 aux Ed Albatros). Parallélement, nous avions fondé la Faculté Libre d’Astrologie de Paris avec parmi les premières enseignantes Catherine Aubier et Marielle Clavel (plus connue désormais sous le nom de Marielle Garrel)t. Cette démarche « lambda » s’accompagna de « débauchages » de la part de membres du CIA de Paul Colombet comme du GERAS de Patrice Louaisel. mais aussi du CEFA de Nicola, en la personne d’Yves Lenoble. Quand en décembre 1977, nous célébrâmes notre trentiéme anniversaire, nous avions déjà de belles performances à notre actif. C’est dire que les 39 ans de Macron ne nous impressionnent pas particulièrement. Nous verrons si Macron fait preuve d’une telle aptitude à rassembler des personnalités autour de lui et pas seulement du public plus ou moins anonyme. Notre force aura été le contact personnel, ce qui aura conduit notamment à la parution d’une série de « bottins », de répertoires, de guides du milie astrologique.
Nous ne reviendrons pas en détail sur ce qui s’est passé depuis et nous entiendrons aux questions de synergie: organisation de moul congrès en province, quadrillant littéralement la France mais avec des percées à l’étranger, de Genéve à Londes, de Bruxelles à Athènes ou encore création de fédérations régionales et internationales sans oublier nos accords avec les Editions Guy Trédaniel qui publièrent nombre de nos ouvrages, à commencer par le Guide de la Vie Astrologique. Enfin, on n’oubliera pas de citer une collection zodiacale aux Editions Solar, dans le cadre du MAU, avec notamment Catherine Aubier,, Françoise Colin et Dorothée Koechlin de Bizemont, qui reparaitra chez France Loisirs.
Autre moment fort qui nous conduisit à interférer avec le destin du GERASH de Louaisel, les années 1986-87. Profitant de tensions entre Charvet et Louaisel, nous nous retrouvâmes vice président du GERASH et comme Louaiseil redevenu président démissionna très vite, cela fit de nous son successeur. C’état une époque très exciytante parce qu’en 1985, nous avions contribué à la création de la Fédération des Enseignants en Astrologie, présidée par Denise Daprey. C’est ainsi que nous nous trouvâmes en position stratégique au sein de trois structures astrologiques. Le congrès de Mars 1987 réunit un grand nombre de personnalités du milieu astrologique dans une configuration gamma, avec Saturne entrant dans le troisiém décan du sagittaire. Il fut suivi d’un autre congrès important de par la qualité de ses participants l’année suivante, toujours à Paris (pour la liste des intervenants, nous renvoyons au Guide astrologique paru en 1997)
En 1996, Fanchon Pradalier Roy nous contacta pour faire paraitre aux Ed. du Rocher une nouvelle édition de notre Guide de la Vie astrologique mais finalement l’ouvrage parur en 1997, aux Ed. Laurens. Cette édition avait été réalisée avec des contributions d’un trè
trologie histoire
s grand nombre d’astrologues qui nous avaient envoyé des éléments complémentaires. Elle avait été également inclue dans le cadre d’un mémoire de DESS (Paris VIII en 1995), « Le milieu astrologique, ses structures et ses membres ». Sautons jjusqu’à l’année 2004, où le MAU fétait les 30 ans du congrès de 74, lequel avait mis fin à une absence de congrès parisiens depuis plus de 20 ans,le dernier en date ayant eu lieu pendant les fêtes de fin d’année 1953-1954. Au mois d’Avril 2004, Saturne était à 8° Cancer, donc en phase gamma et nous fûmes étonnés de l’impact que rencontra l’annonce pour novembre d’un congrès astrologique. Là encore, il ne s’agissait de réunir un public anonyme mais des « grosses pointures », ce qui correspond plus à l’esprit élitique oméga qu’aux compromis de la phase alpha, où la quantité remplace la qualité. Autrement dit, dans l’inconscient collectif des astrologues, notre image de rassembleur des astrologues, tant en congrès que dans nos « guides », s’était maintenue remarquablement (ce Colloque a été entièrement filmé et est enligne). Cet événement marquait d’ailleurs la fin d’une ère « Lenoble » qui dura une quinzaine d’années. Bien entendu, comment ne pas mentionner en 2008, la création de la chaine de télévision astrologique Téléprovidence, née de notre rencontre avec Roger Héquet à laquelle partcipèrent de nombreux acteurs du milieu astrologique?
Nous avons en vérité trois casquettes- ce qui nous permet de surfer sur les phases successives et souvent l’on n’en retient qu’une seule! La casquette de l’organisateur d’événements pour la communauté astrologique, celle d’historien, spécaliste notamment de Nostradamus et enfin celle de réformateur de l’astrologie, cette troisiéme facette est peut être celle qui fait le plus probléme mais cela nous aura donné une certaine distance qui nous aura placé au dessus de la mêlée, ce qui est le propre de l’esprit « gamma ». Nous verrons si Macron au cours des prochains mois a bien un tel profil lui permettant de regrouper autour de lui des personnages de premier plan et d’entretenir des relations de proximité avec des responsables étrangers de haut rang. Notre sentiment, c’est que Macron serait plus à l’aise avec des inconnus qu’avec des gens connus et cela pourrait bien être là que le bât va blesser car une chose est de l’emporter au suffrage universel, une autre de savoir réunir une part importante du « personnel » politique. Qui vivra verra!.
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JHB
12. 05 17
jacques Halbronn Science politique pour les astrologues face aux échéances de l'Eté 2017
Scence politique pour les astrologues face aux échéances de l’Ete 2017
par Jacques Halbronn
Prévoir le déroulement de la vie politique par l’astrologie ne saurait dispenser d’une bonne connaissance du processus constitutionnel et nous entendons par cette étude aider les astrologues à mieux appréhender le cours des choses. Par aillleurs, le respect des sondages – lesquels ont aussi une certaine vertu préviisionnelle, éviterait aussi que certains astrologues annoncent une victoire pour des candidats qui n’ont aucune chance, sur la seule base de leur thème natal.
En tout état de cause, il est très probable que Macron soit élu Président de la République, d’ici quelques semaines. Mais la vraie question n’est plus là, il s’agit de savoir quels seront ses vrais pouvoirs si, comme il est également fort probable, il ne disposera pas de majorité avec les députes d’En Marche, lesquels devraient être assez peu nombreux. Macron n’aura plus alors que le choix de la sauce à laquelle il préfére être mangé et cela passera nécessairement par ces partis « traditionnels » qui auront été enterrés un peu vite par les commentateurs. Rappelons qu’il n’aura manqué que quelques milliers de voix à François Fillon pour dépasser Marine Le Pen. 400. 000 voix séparent Fillon et le Pen et il faut couper par deux pour calculer le différentiel, ce qui donne 200.000 voix en plus et en moins. On est bien loin d’un raz de marée du FN!
On attendra donc avec le plus grand intérêt le soir du premier tour des législatives alors que le second tour des présidentielles ne réserve guère de suspense. Au lendemain du premier tour des législatives, Macron s’apercevra que son mouvement En Marche ne fait pas le poids et qu’il lui faut contracter des alliances avant le second tour pour ne pas être totalement laminé. Il faut qu’il comprenne que les ralliements en sa faveur ne dureront pas au delà du second tour des présidentielles, le but étant uniquement de faire barrage à Marine Le Pen. Une fois le résultat atteint, les uns et les autres retourneront au bercail. Que ce soit Manuel Valls ou François Hollande, il ne s’agit que de travailler contre le FN. NI plus ni moins..
Toute la question sera alors de savoir avec qui En Marche fera alliance, ce qui signifie des désistements réciproques en faveur du premier arrivé, circonscription par circonscription, avec en outre l’intention d’empêcher le FN d’obtenir trop de voix. Rappelons que pour les régionales, le PS avait retiré ses candidats quand c’était nécessaire pour éviter de laisser des régions au FN.
Le PS devrait parvenir à faire alliance avec La France Insoumise de Mélenchon dans la vieiille tradition PS -PC et cela devrait lui garantir un nombre appréciable de députés. On peut donc raisonnablement imaginer soit une alliance de raison entre En Marche et le PS (uni aux écologiste de Yannick Jagot), mais Mélenchon y fera obstacle qui déteste autant Macron que Le Pen, soit pas d’alliance et une majorité parlementaire qui imposera sa loi après le second tour au Président Macron. Il semble donc que tout va se jouer à gauche, selon les vieux schémas électoraux qui auront perduré depuis des décennies.Qui pourrait être le Premier Ministre de gauche sous Macron? On pense à Gérard Coullomb le maire de Lyon, un socialiste rallié de longue date à En Marche.
Autre cas de figure: le parti LR se ressaisit et fait un beau score au premier tour des législatives, ce qui ferait une alternative pour Macron. Au Président Macron de peser le pour et le contre. et ce qu’il a le plus à perdre ou à gagner sur sa gauche ou sur sa droite. Mais l’on sait que les Républicains ont une dent contre l’allié d’En Marche, à savoir François Bayrou, le président du Modem. En revanche, on ne peut exclure que les LR imposent dans ce cas un premier ministre de cohabitation à Macron comme ils ont su le faire à deux reprises sous Mitterand. Il pourrait s’agir d’Alain Juppé compatible avec Macron qui aurait ainsi sa revanche sur Fillon qui l’avait emporté aux primaires de la droite et du centre mais aussi sur Jospin qui avait imposé une cohabitation à Chirac 5 ans durant (1997-2002) alors que Juppé avait été jusque là Premier Ministre. Toutefois, Barouin semble avoir toutes ses chances (cf infra)
Selon nous, au regard de nos travaux cyclologiques, nous pensons que Macron penchera plutrôt vers la Droite que vers la Gauche ou plutôt que le résultat des élections législatives le contraindra à un tel choix. La période actuelle est un temps de doute et de transition, d’hésitation. Elle ne pourra à terme que déboucher, selon notre cyclologie, que sur une phase « oméga » favorable à la Droite. D’ailleurs, François Barouin est dès à présent perçu comme le futur Premier Ministre d’un Macron, faute de l’être d’un Fillon, ce qui donnerait à ce bicéphalisme de la Ve République un « look » assez jeune. On voit à quel point la Ve République est un régime hybride qui peut se présenter sous des jours très différents selon les rapports de force. Dès le départ, l’on savait que l’élection du Président de la République ne serait pas déterminante, sauf aux yeux des mauvais connaisseurs de nos institution, ce qui est le cas généralement des observateurs étrangers. Le premier ministre échappe au suffrage universel direct et reste l’affaire des partis. Le fait d’élire un président qui échappe aux partis n’est pas en soi une mauvaise chose et c’est même peut - être préférable, au regard de l’existence de contre-pouvoirs dont il fat partie, à un président qui aurait une majorité parlementaire à sa botte.
Ceux qui croient à une dynamique présidentielle offrant une majorité au nouveau président élu devraient en être pour leurs frais car les précédents ne sauraient faire autorité. Jusque là ces présidents disposaient d’un parti en bonne et due forme alors que ce n’est pas vraiment le cas pour En Marche. En ce sens, Marine Le Pen est tout de même mieux lotie en nombre d’élus que Macron/ Le nouveau Président nous apparait donc comme un président de cohabitation qui ne disposera que de pouvoirs limités. Libre à lui, au demeurant, de spéculer sur les échecs de son gouvernement de cohabitation pour dissoudre l’Assemblée Nationae au bout d’un an, comme l’y autorise la Constitution. Certes, Mitterrand à deux reprises a dissous une Assemblée hostile au lendemain de son élection en 1981 et 1988. En 1988, on mettait ainsi fin à une première cohabitation, ce qui n’est nullement le cas en 2017. En 2002, Chirac élu contreJean-Marie Le Pen, obtint de l’Assemblée, une majorité. A noter que la dissolution de 1997 permit d’ajuster présidentielle et législative, ce qui n’aurait pas été le cas si l’on avait attendu 1998 (5 ans après 1993) En 1995, Chirac fut élu en phase avec la majorité de 1993, qui avait imposé une cohabitation à Mitterrand. On aurait donc pu croire que cette régle d’un ajustement président-parlement correspondait à un état de grâce.. En 2007 et 2012, on obtint un parlement sur la même ligne que celle du Président mais il s’agissait de présidents qui étaient l’expression de partis politiques « traditionnels » et non d’électrons libres sans passé parlementaire substantiel comme c’est le cas pour les deux candidats en présence au second tour. Même un Mélenchon aurait pu compter sur l’appui du PC et sur ses alliances classiques avec le PS..
Au bout du compte, Macron devrait faire un très bon Président de la République mais sans grands pouvoirs. Se situant au dessus des partis, il est fort bien placé en tant que gardien des institutions et dans un rôle de représentation. Le Centrisme de Macron le voue à ce statut d’arbitre et le prédispose à être un Président de cohabitation et ce dès son entrée en fonction, ce qui ne s’était jamais produit sous la Ve République.
Désormais, l’on peut même penser que l’élection du Président sera perçue comme assez secondaire et que le fait qu’à certains moments il dispose de plus de pouvoirs serait plus l’exception que la régle. Avec ces deux candidats sans soutien partisan substantiel, la Ve République se meut en un régime parlementaire, à l’instar de ses voisins (Angleterre, Espagne, Italie, Allemagne, Pays Bas), le président de la République Française étant le pendant du souverain.
Le ralliement de Nicolas Dupont Aignan (Debout la France, 4,7% au premier tour des présidentielles) -et auquel ill est promis le poste de Premier Ministre, en cas de victoire de Marine Le Pen, -est, à nos yeux, l’indication de lignes qui ont bougé même si la désignation d’un Premler Ministre avec les législatives nous apparait comme un bluff. C’est la première fois que le FN échappe à son enclavement, à son isolement, voulu par les partis « républicains »et ce au nom d’une Union Nationale des Droites, ce qui correspond à une certaine forme de décrispation de la vie politique française, et il est clair que la Droite aura perdu, par le passé, des élections, en se privant des voix d’une partie stigmatisée de ses propres troupes. .. On attendait que les choses se débloquent, un jour ou l’autre. En ce sens, une telle situation correspond assez bien, nous semble-t-il, à une période d’équilibre précaire – au sens cyclique du terme- qui correspond à un rejet des anciens clivages. On notera un étrange paralléle entre le ralliement de Bayrou à Macron, il y a déjà quelque temps et celui de Dupont-Aignan à Marine Le Pen, à savoir celui de personnages relativement isolés sur la scéne politique.Quant à Jean-Luc Mélenchon, il refuse également de jouer la carte du rapprochement automatique entre l’extréme gauche et la gauche « modérée. Au fond, tout se passe comme si la crispation avait changé de camp et que c’est à gauche que les clivages se manifestent alors qu’à droite, ils tendraient désormais à s’estomper.
Cela dit, jusqu’à nouvel ordre, on attend le résultat du premier tour des législatives pour voir émerger un semblant de majorité présidentielle en faveur de l’un ou l’autre des candidats. Mais l’on s’attend pour l’heure à ce que ces présidents- l’un ou l’autre- ne puissent gouverner et doivent se contenter de présider, ce qui ferait que le Président de la République devrait se limiter à faire partie des contre-pouvoirs en se situant au dessus de la mélée. Ce qu’on appelle cohabitation n’est en fait que l’expression de la dualité nécessaire entre le gardien d’institutions vouées à l’alternance et le premier ministre chargé de mener une certaine politique pour une période de temps qui dépend de l’évolution de la situation..
Tout indique, désormais, une revanche des candidats parvenus en troisiéme et quatriéme position. Mélenchon déclare qu’il n’a pas dit son dernier mot. Ce qu’il n’ a pas obtenu aux présidentielles aux présidentielles, il peut l’arracher aux socialistes en vue des législatives. D’ailleurs Hamon n’avait-il pas déclaré en son temps que les électeurs trancheraient quant au leadership à gauche. Lalliance PS- France Insoumise- PC -Ecologistes (tendance Jagot) semble bien être la seule issue pour la sauvegarde de la Gauche. De même, à droite, on compte très sérieusement sur une cohabitation autour d’une victoire LR aux législatives. Autrement dit, personne ne croit plus guère à un processus systémique qui accorderait au président élu, quasi automatiquement, une majorité à l’Assemblée Nationale et les politologues qui défendaient un tel scénario risquent forts d’en être pour leurs frais..En fait, c’est la « science politique » qui connait un grave camouflet en ce que celle-ci croyait avoir établi une « loi » impliquant un tel automatisme, mais c’était faire abstraction des effets pervers du suffrage universel qui découple l’élection présidentielle des élections législatives (scrutin à deux touts, sans proportionnelle. Tout indique que sous la Ve République, le « peuple » ait décidé d’avoir un président qui préside mais ne gouverne pas. On élit ainsi des personnages inclassables comme Macron ou Le Pen et qui devront se contenter de valider des premiers ministres issus des législatives, ce qui aura pour effet de normaliser le systéme français en l’alignant sur les pratique des autres pays de l’Union Européenne. C’est la fin de l’exception française. ..
On nous parle de gouverner par ordonnance. Cela fait penser à Pétain obtenant le 10 juiillet 1940 les « pleins pouvoirs » de la Chambre des Députés mais la situation était tout de même d’un autre ordre. Et de toute façon, si Macron, le nouveau président élu, n’a pas de majorité au Parlement, il ne pourra faire voter une « loi d’habilitation » , condition nécessaire pour passer des ordonnances. Toute la question sera donc de voir s’il obtient la « confiance » d’une majorté de députés pour ce faire. Mais le ralliement que Macron a obtenu pour éviter le péril « Le Pen » pourra-t-il se reproduire 77 ans plus tard? Peut être sous la pression de la rue, si cela devait conduite à des troubles graves.
L’élection de Macron reléve de ce que nous appelons une réalité virtuelle- avec des écarts de quelques centaines de milliers de voix entre les 4 premiers candidats au premier tour -Fillon aurait fort bien pu dépasser Marine Le Pen et affronter Macron au second tour- alors que la situation économique appartient au champ de la « vraie réalité »?.
Rappelons aussi, que la régle du jeu des élections législatives, ce sont les accords de désistement entre partis. On peut arriver en tête au premier tour et perdre au second tour si les adversaires s’arrangent entre eux. Un parti isolé est perdant. Mais quelle est actuellement la politique concevable avec la diabolisation à la fois de Marine Le Pen et de Mélenchon, tous deux jugés infréquentables par les partis traditiionnels? La seule issue serait un front républicain entre le PS et les Républicains pour une cohabitation. On nous parle de coalition autour de Macro./ Or il semble que Macron joue la carte quantitative plutôt que qualitative et que sa capacité à rassembler et de faire cohabiter autour de lui de fortes personnalités soit limitée.
JHB. 12 05 17
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